jeudi 1 juillet 2010

LES INTERVENTIONS DANS LE GRAND PAYSAGE CONTINUENT LE CHATEAU D’EAU DE SALEILLES

En 2003, la commande par la mairie d’un visuel pour l’identité de la commune de Saleilles lui permet de travailler sur un support assez fin et d’installer le point de vue très prés du château d’eau.
Il s’agit de créer un point de rencontre complètement interactif en modelant le terrain d’accueil, en plaçant un rocher sculpté dont le sommet servirait de tablette sur laquelle le visiteur placerait son appareil photo et demanderait à ses amis, enfants… de se positionner juste en face de l’objectif, sur un autre rocher de façon qu’il puisse prendre une photo  comme si elle était sur un roche dans la rivière.
Cela aurait été intéressant de voir si les visiteurs adhéraient au principe et se prêtaient au jeu.
Le château d’eau pouvait devenir un repère, un centre d’intérêt, le départ de chemins de randonnées…
Malheureusement le projet n’a pas pu se faire… le terrain n’a pas pu être acheté par la mairie… Dommage.

Le motif illustre une légende créée pour l’occasion par l’artiste et remaniée par la plume subtile de Florence Grau. Il faut savoir que la commune de Saleilles a subit durant des années des inondations aussi soudaines que violentes. Le Réart est un petit ruisseau presque à sec qui se transforme en torrent en quelques heures, emportant tout sur son passage et laissant les habitants traumatisés.
Le personnage peint est sensé porter à bout de bras un bouclier magique duquel coule un eau douce et paisible qui calme la fureur du torrent.

Etrangement, depuis cette peinture monumentale le Réart  épargne Saleilles



 
L'anamorphose sert à respecter un projet quelque soit le support

 


  
Evolution de l'anamorphose autour du cylindre

   





 



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